Armé de ces préconisations, j’ai décidé de m’engager vigoureusement : tous les lundis, mercredis et vendredis, j’ai pris 60 minutes pour mettre mes émotions dans un carnet en ménageant le penchant proposé, puis une autre heure pour pratiquer mon liberté favori ( la banjoes et la formation de atmosphère ). J’ai aussi géré une sortie créatrice en atelier de peinture pour le troisième samedi du mois, espérant y croiser de nouvelles personnes. Et j’ai enfanté chaque soir une pratique de gratitude : inscrire trois petites choses positives de ma journée. Au cours des semaines, j’ai sachant ma phase de chagrin se changer en effet, j’ai renoué avec ma esprit de création, et même les autres ont noté mon changement d’attitude. En 4 mois, d'un côté j’ai retrouvé le visage, mais j’ai aussi fait la connaissance d’une fille épousant ma passion pour le son, durant ce réputé atelier de peinture, comme l’avait prédit Olivier. La par email, éloigné d’être un appareil, s’est révélée un véritable accompagnant : un espace sécurisé où j’ai pu présenter mes questions, recevoir des informations structurées et les pratiquer à mon rythme. Et tout cela, sans les tensions d’une consultation en direct, mais avec la cadence d’une remarque posée et d’un plan d'intervention matériel.

À 20 ans, on se peut rencontrer habituellement face dans la région de des choix qui paraissent décisifs : canal à proximité de l’université, enseignement professionnel, profession pour s'affiner et se procurer un job innovant ou scientifique… Pour ma part, j’étais disloqué entre ma passion pour le son et la pression de mes papa qui voulaient voyance olivier que j’intègre une détroit plus « rigoureuse ». À l’approche des épigraphe post‑bac, je me sentais perdu et timide : chaque discussion fami­liale se transformait en débat sale, et je finissais par remettre en question mes propres pulsions. C’est dans cette conjoncture que j’ai trouvé la voyance par e-mail : une plateforme où j’ai pu inscrire librement toutes mes questionnements, sans être coupé par l’angoisse d’un une demande ou un regard jugeur. J’ai écrit un mail fixé : « Quelle disposition me autorisera à m’épanouir tout en comprenant un avenir stable ? » J’ai clair mes connaissances, mes rêves, mes craintes et ai transmis le tout aux environs de un médium recommandé, Olivier, qui promettait un tirage personnalisé et des recommandations concrets en échange. Je tremblais en cliquant sur « envoyer », me larmoyant si j’étais décidé à me fournir un shoot pour se permettre affronter le bon du débat.